«Journée des garagistes suisses»
Des connaissances et de l’inspiration
23. Januar 2020 agvs-upsa.ch – Urs Wernli, président central de l’UPSA, tire un premier bilan positif de la Journée des garagistes suisses. Le colloque s’est développé davantage et les retours des invités sont positifs
Le président central de l'UPSA, Urs Wernli, remercie les deux modérateurs Mélanie Freymond et Röbi Koller.
sco. M. Wernli, la Journée des garagistes suisses est passée. Quel bilan en tirez-vous en tant qu’hôte au Kursaal de Berne ?
Urs Wernli, président central de l’UPSA: L’immense dévouement de l’équipe organisatrice avant et pendant le colloque a porté ses fruits. La journée s’est déroulée sans heurts et nous sommes à nouveau parvenus, selon moi, à proposer une manifestation unique à nos membres qui ont pu acquérir des connaissances et trouver de l’inspiration. Je suis très satisfait de tous ceux qui se sont engagés et je me félicite de l’excellent déroulement de la manifestation.
Vous avez pris part à beaucoup d’entretiens. Quelle est la teneur des retours des participants?
Les thématiques, les intervenants et les participants à la table ronde ont manifestement trouvé leur public. Nous sommes impatients d’obtenir les évaluations. D’après ce que je constate spontanément à la suite de la journée, tous les votes valables font état d’une Journée des garagistes suisses très bien orchestrée.
Il y a un an, vous aviez évoqué des «ajustements fins» visant à développer davantage la journée. Sur quoi avez-vous joué entre la journée 2019 et celle de 2020?
Mon crédo est simple: «ne jamais cesser de s’améliorer». Les thématiques devraient se tourner autant que possible vers la pratique et la journée devrait être moins chargée. Des réserves de temps ont été intégrées et les intervenants, les participants à la table ronde et les animateurs ont pris part de manière optimale à la préparation. Il devrait en rester une journée inoubliable qui laissera une impression positive.
Qu’est-ce qui pourrait encore être amélioré d’après vous?
Les évaluations le révéleront. Il ne devrait pas y avoir de congestion au check-in. Nous pourrons encore améliorer la notoriété de la manifestation en impliquant le public par le biais d’un vote ou d’une enquête. En fin de compte, la journée doit être une source d’inspiration visant à faire réfléchir et agir les garagistes et les invités sur des questions actuelles et futures.
L’intérêt des médias a été plus important cette année que par le passé. Comment l’expliquez-vous?
Le débat sur le climat a déclenché un grand intérêt des médias vis-à-vis de l’automobile et du trafic motorisé. Sans compter l’effet de mode dû à l’électromobilité en plein milieu duquel se trouvent les garagistes. Les médias de l’UPSA ont travaillé sur ces questions au point que les médias grand public sont devenus plus attentifs.
Lors de votre exposé de positionnement, vous avez abordé les défis futurs liés au CO2. Michael Jost, le patron de la stratégie chez VW, veut que son groupe devienne climatiquement neutre d’ici 2050. Les garagistes suisses sont-ils prêts et suffisamment mobiles pour cette mutation?
Les membres de l’UPSA y sont sensibilisés depuis des années grâce au CheckEnergieAuto (CEA). Les garagistes sont conscients de l’intérêt que manifeste la société à une mobilité plus écologique. De plus en plus de voitures électriques ou de véhicules hybrides se vendent en réponse à la pression visant à améliorer le climat et aux plafonds légaux de CO2 plus bas. Nos garagistes n’entraveront pas cette mutation. Ils l’accompagneront. Il ne faut toutefois pas négliger le parc automobile existant qui compte six millions de véhicules. L’UPSA se penchera sur la question et contribuera à ménager l’environnement avec le concours de l’Office fédéral de l’énergie grâce à des mesures de conseil et de service.
Le président central de l'UPSA, Urs Wernli, remercie les deux modérateurs Mélanie Freymond et Röbi Koller.
sco. M. Wernli, la Journée des garagistes suisses est passée. Quel bilan en tirez-vous en tant qu’hôte au Kursaal de Berne ?
Urs Wernli, président central de l’UPSA: L’immense dévouement de l’équipe organisatrice avant et pendant le colloque a porté ses fruits. La journée s’est déroulée sans heurts et nous sommes à nouveau parvenus, selon moi, à proposer une manifestation unique à nos membres qui ont pu acquérir des connaissances et trouver de l’inspiration. Je suis très satisfait de tous ceux qui se sont engagés et je me félicite de l’excellent déroulement de la manifestation.
Vous avez pris part à beaucoup d’entretiens. Quelle est la teneur des retours des participants?
Les thématiques, les intervenants et les participants à la table ronde ont manifestement trouvé leur public. Nous sommes impatients d’obtenir les évaluations. D’après ce que je constate spontanément à la suite de la journée, tous les votes valables font état d’une Journée des garagistes suisses très bien orchestrée.
Il y a un an, vous aviez évoqué des «ajustements fins» visant à développer davantage la journée. Sur quoi avez-vous joué entre la journée 2019 et celle de 2020?
Mon crédo est simple: «ne jamais cesser de s’améliorer». Les thématiques devraient se tourner autant que possible vers la pratique et la journée devrait être moins chargée. Des réserves de temps ont été intégrées et les intervenants, les participants à la table ronde et les animateurs ont pris part de manière optimale à la préparation. Il devrait en rester une journée inoubliable qui laissera une impression positive.
Qu’est-ce qui pourrait encore être amélioré d’après vous?
Les évaluations le révéleront. Il ne devrait pas y avoir de congestion au check-in. Nous pourrons encore améliorer la notoriété de la manifestation en impliquant le public par le biais d’un vote ou d’une enquête. En fin de compte, la journée doit être une source d’inspiration visant à faire réfléchir et agir les garagistes et les invités sur des questions actuelles et futures.
L’intérêt des médias a été plus important cette année que par le passé. Comment l’expliquez-vous?
Le débat sur le climat a déclenché un grand intérêt des médias vis-à-vis de l’automobile et du trafic motorisé. Sans compter l’effet de mode dû à l’électromobilité en plein milieu duquel se trouvent les garagistes. Les médias de l’UPSA ont travaillé sur ces questions au point que les médias grand public sont devenus plus attentifs.
Lors de votre exposé de positionnement, vous avez abordé les défis futurs liés au CO2. Michael Jost, le patron de la stratégie chez VW, veut que son groupe devienne climatiquement neutre d’ici 2050. Les garagistes suisses sont-ils prêts et suffisamment mobiles pour cette mutation?
Les membres de l’UPSA y sont sensibilisés depuis des années grâce au CheckEnergieAuto (CEA). Les garagistes sont conscients de l’intérêt que manifeste la société à une mobilité plus écologique. De plus en plus de voitures électriques ou de véhicules hybrides se vendent en réponse à la pression visant à améliorer le climat et aux plafonds légaux de CO2 plus bas. Nos garagistes n’entraveront pas cette mutation. Ils l’accompagneront. Il ne faut toutefois pas négliger le parc automobile existant qui compte six millions de véhicules. L’UPSA se penchera sur la question et contribuera à ménager l’environnement avec le concours de l’Office fédéral de l’énergie grâce à des mesures de conseil et de service.
Ajouter un commentaire
Commentaires